Canon DU7-1101-000 Bedienungsanleitung

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ON 13'A ROtNNE
unes
IKARTEGOUTE
et C,
imp.-Lib., r.St-Roule, 46,
a ToctouSa.
Lésa les Libraires, Burenaa
des Meaeagerias
st Directeurs de Postes.
CHEZ Dia VIGNY ET ci',
Dlaeer...B Dr
0f t3oe-Correapotadatx
Piaes de la Bourse, 5
A
p.'a(a.
tiRti'AL
Les Annonces et Avis
doivent être remis la veille
avant 6 heures du soir.
Ce journal parait tous les jours,
excepté le mercredi.
SOMMAIRE
ou de ramener dans les principes et dans la pratique de la
morale
ieuse enant
à la
ouvi
T(chasse
d',O8
çi
ion d s ébéni tes et des mena alors de la
fièrement
lles
es ]jeunes
apprenti . Oit voitclass
toute l'importancead'un
ville de Toulouse ; Société charitable du patronage; travaux du
Pareille association,
et
I iiedence qu'elle est appelée à 'exercer
canal latéral à la Garonne. - Notvea,I-ES O'ESracxE ; Ouver-
sur ,a population in ustrieliee notre ville.
turc des corlès. - PAris, 4 avril: Colonisation de la Guyane.
Déj'( le gouvernement dans fine juste sollicitude
avait accordé sa
- 5 avril: Réunion dans 1esbureaux de la chambre des dépu-
rouis
1841tuatrès
avoir
enfants
é%etnrtl âbt àdu indu
liie.`La loi
dus 22
lés. - NOUVELLES D'ANGLETEnRE. - Molles. - FE0'ILLE-
P
P
r
..l , assure non ..eu
TON lie Ma u va IS Cars (Suite).
lement "le main;icil des Loques moeurs dans les
ateliers , mars exige
encore, avec i instruction primaire, à en eignement religieux des
jeunes ouvriers.
TOULOUSE
,
39' AN iEC
8 Avril.
Les nouvelles d'Espagne reçues ce malin portent le
compte-rendu
de la séance ales corlès. Le discours prononcé parle
régent dan, cette
circonstance annonce de grands projets de réforme intérieure.
Il
garde un silence absolu sur les relations de l'Espagne avec les puis-
sances étrangères.
(Voir Noue'elles d'Eslagite.)
C'est pour entrer dans la pensée du gouvernement
que quelques
hommes
,
amis dévoilés de leur pays" et auxquels leur position
sociale don ne une salutaire intiaeuce, crit vrrailu fonder à Toulouse
la Société charitable du Patronage. Nous ne saurions trop
encourager
leur piété sincère.
La civilisation n'est réellement complète que lorsqu'une
religion
pleine de chaiité s'unit avec pitu erire aux institutions
pour les
maintenir en les sanctionnant
, car
il faut que l'élément moral do-
mine dans le développement social.
Nous sommes h
i
a l
eureux
en s
gn
lant
es premiersoi
,
une as-ca-
Hier l'Académie des Jeux-Floraux a nommé mainteneurs M.
let lier. si éu itemment ecntcnvatrice
,
dé lui purnettle les meilleurs
vicomte de Raynaud et M. de Tauriac, en
remplacement de MM.
résultats et la reconnais ance de tous les hommes de tien.
I'ujol et Pi
d
édé
liau
,.
c s
Les cinq premières compagnies avec le chef de bataillon
vin
Le jour du tirage de la
loterie pour les malheur eux réfugiés
chasseurs d'Orléans, partent demain dimanche pour aller
---
s'ernbar-
v' "ura sera annoncegwns un (tes prochains numéros de notre
journal. Les personnes qui veulent bien s'occuper des lots
sont
quer à Port-Vendies. Les 6e et 7°
compagnies formant le dépôt
pliées tic le3 envoyer avant te vingt du mois d'avril. Le
nombrerestent à Toulouse.
La pétition suivante, en date du 7 avril,
vient d'être adressée à
AlM..les membres du con. cil
municipal.
Les Ebénistes et les Menuisiers de la ville de Toulous.
Messieurs,
L'établissement d'un entrepôt d'étéristerie
ayant été établi dans
notre ville par le directeur de la prison centrale de Viileneuve-
d'Agen, nous nous voyons dans la nécessité de
solliciter du conseil
municipal la création d'un droit d'entrée sur cet objet
,
afin que
nous soyons à même de soutenir la concurrence.
En lutte contre un spéculateur dont les ouvriers sont
salariés
60 à 80 pour °/ Ô au-dessous du cours ordinaire, nous serait-il
per-
mis, en effet , de résister à la supériorité d'une telle position sans la
protection du conseil ?
-
Relativement -aux bénéfices de la consommation
,
il est d'autant
plus urgent, dans l'intérêt de la caisse municipale
,
de prévenir le
funeste` résultat de cet entrepôt, que sur les 1000 ouvriers
précé-
demment occupés dans nos ateliers
, 5
à 600 ont déjà quitté notre
ville, faute de travail. Il est boit que vous sachiez, à propos des
re-
cettes de l'octroi
, que chaque meuble supporte un tribut d'environ
5 fr.,lorsqu'il est confectionné à Toulouse, soit à cause de l'emploi
du bois sujet au tarif
, soit
à raison des articles de droguerie qui ser-
vent à le perfectionner.
Après avoir mis cet exposé sous vos yeux
,
permettez-nous
,
messieurs ,
d'appeler également votre altent;-n sur le contraste
qu'offrirait le motif de la complète désertion dont nous sommes
menacés ,
avec les généreuses sollicitudes qui vous out porté à
consacrer un professeur spécial à l'instruction industrielle de la
classe ouvrière.
Nous avons l'honneur d'être avec respect, Messieurs,
Vos dévoués administrés
,
s.4uiveut les signatures.
Hier a eu lieu, dans une chapelle de féglise Saint-Exupère,
la
première réunion de la Société du Patronage. Cette issocistion fon-
dée avec l'approbation et sous l'autorité de notre digne archevêque
,
dont le zèle est infatigable pour le bien
,
a pour but de conserver
LIL1
11!!JliLtJ !.11.J
TRADITION POITEVINE.-1465.
IV.
(Suite.)
-
La jeune châtelaine relève bientôt
ses yeux, animés d'eue douce
espérance, en entendant Ifs nobles paroles de
celui qu'elle aime.
- Ma volonté, ma volonté seule !
s'est écrié le jeune homme
avec transport ; alors, monseigneur, vous n'avez
plus qu'à me ré-
pondre : voulez-vous de moi, votre fils par le
respect et l'affection
,
faire votre fils par un lien plus sacré
encore et plus doux ? Voulez-
vous faire de moi l'époux de votre fille? Un
mot suffira. Pas n'est
besoin de parler davantage d'obstacles; il
n'en existe plus
, puisque
ma volonté peut les détruire.
- Henri de Beaulieu, dit le vieillard
,
c'est un noble sang qui
coule dans vos veines et échauffe votre coeur
,
mais ajoute-t-il en
insistant dun ton solennel, ce serait mat à
moi
,
ce serait mal à
nous d'accepter la promesse que vous nous faites
sans savoir ce
qu'elle comporte ; et , dût s'anéantir ma plus
chère espérance
, dût
s'écrouler tout l'édifice de ce bonheur que j'ai appelé
de mes vieux
et de mes prières, dût cette union tant rêvée
, tant désirée, n'avoir
pas lieu, je veux, Henri , qu'il n'y ait pour vous rien de
caché, rien
de ténébreux eu nous. L'hypocrisie et le mensonge
n'ont jamais
souillé les lèvres d'un Maucouvert... Vous saurez tout, Henri
, car
c'est pour moi un devoir de tout vous dire.
- Chevalier de Beaulieu, dit à son tour la jeune châtelaine
avec
dignité ,
vous êtes noble et généreux :
je le savais et
vous en re-
mercie ; mais monseigneur le comte a raison ;
dans un moment
aussi solennel, dans un moment où une parole peut nous faire
tous
deux heureux ou malheureux à jamais,
il faut que
cette parole soit
prononcée ,
et que rien ne vous soit caché.
- Eh bien ! donc, réplique Henri au comble de la surprise
,
puisque tel est votre désir qui m est sacré, parlez, noble comte;
mon
E
TOUL
POLITIVUÎÈM
El-
LITTÉRAI
.
des sertes ayant été augmenté
, nous avons la conliance que les lots
t seront multipliés, et que le zèle et le dévouement ne seront jamais
au-dessous des besoins d'un si grand nombre de familles
réduites ;
dans l'exil, à une profonde misère.
Les personnes qui ont reçu des billets
sont invitées à en faire re-
mettre le montant au secrétariat de l'archevêché
,
si elles ne l'ont
déjà fait.
TRAVAUX DU C% AL LATÉRAL A L.1 GARONNE'.
On lit dans le Courrier de Tarn-et-Garoane
:
- Le canal latéral à la Garonne et en particulier l'embranchement
de Toulouse à MontauLan sont des sujets trop importants
pour nos
contrées et qui les intéresscrità un trop haut degré pour que
nous
négligions d'informer de temps en temps nos lecteurs des progrès
de celle rouvre mérittionalç
, sur l'accomplissement de laquelle
notre cité fonde tant d'espérances d'avenir et de prospérité.
Le
temps approche où tout sera terminé, et quant à l'embranchement
de Toulouse à Monlauban
, nous espérons que les lignes que nous
écrivons aujourd'hui seront les dernières et
que l'année prochaine
nous n'aurons plus à nous occuper de terrassements, de maçonne-
neries et d'écluses, mais de navigation
,
de bateaux pesamment
chargés , de bienfaits à notre commerce
,
de vie donnée à notre cité,
et de tous les résultats heureux que (les communications faciles
et
des transactions nouvelles apportent dans les
coutres de population
et d'industrie.
Les travaux du canal touchent à leur terme. Ave-,-
autant d'acti-
vité que le permettaient les économies faites
sur son budget, tes di-
recteurs de cette couvre l'ont poussée et presque accomplie. Quel-
ques mois encore et l'eau viendra remplir-ce lit nouveau que le
génie de l'homme a creusé.
Les déblais et les remblais sont
presque terminés, et cela, depuis
long-temps. Il existait encore, à la tin de
1841, quelques lacunes;
mais on y a mis la main en 1842, et elles seront comblées bien avant
la tin de la campagne de 1843. Une
seule existe encore à l'amont
du pont construit sur la route n° 128, devant Montech. Les pré-
tentions trop élevées de quelques propriétaires
pour la vente de
leur terrain sont cause qu'en
n'y a point encore travaillé; mais
bientôt sacs doute le jury aura
raison de cette résistance, et l'admi-
digue et vénérable ami
,
parlez ;
mais soyez certain, et vous assai
soyez certaine que de ce que je vais entendre rien ne saura changer
mes intentions ; recevez-en i ci le serment.
- Ne jurez, pas Henri, ne jurez pas avant de m'avoir entendu..
Quel est l'homme, si sûr de sa pensée,
qui puisse affirmer que cette
pensée ne-recevra aucune altération du tait de circonstances impré-
vues ? Tous tant que nous sommes, nous avons pour maîtres les
événements
, et
les événements ont à leur tour Dieu pour
paître.
Dieu seul connaît donc les sentiments qui naîtront
en vous à la fin du
récit que je vais vous faire, et la résolution qui en sera la consé-
quence.
Puis, s'adressant à la jeune fille :
- Mon enfant, poursuit le vieillard, il est bon, pour cette confi-
dence, que je sois seul av
c Henri... Je comprends ton impatience
,
aussi serai-je bref autant qu'il me sera possible. Va, je t'appellerai
quand il sera temps.
-
- Qu'il soit fait selon que vous le voulez , mon père
,
répond-
elle. Et cependant, en s'éloignant ,
elle ne peut retenir un petit
geste de contrariété , accompagné d'une moue charmante, accompa-
gné aussi, au moment où elle quitte la chambre
; d'un regard plein
de conliance
, adressé
à Henri
,
et qui veut dire :
e Henri, je vous
aime , j'ai foi en votre amour ! s regard auquel le jeune homme ré
pond par un autre bien éloquent, et qui signifie :
« Oh! oui, comp-
tez sur moi ! »
Le comte et le chevalier restent seuls enfin. Celui-ci
,
impatient
de connaître le mystère annoncé par des précautions
si graves et si
multipliées, se hâte de prendre la parole, et s'asseyant
proche de son
vieil ami :
- Je vous écoute , monseigneur, dit-il vivement.
°- Avant de vous satisfaire
, commence le vieillard , je dois d'a-
bord vous prévenir, relativement au secret que je
vais vous révéler,
qu'il n'est connu ici que de mon enfant et de moi,..
vous en set ez
le troisième dépositaire
; et je dois ajouter qu'à nul autre qu'à VOUS
je n'eusse voulu le confier
; car vous , du moins , quoi qu'il arrive ,
vous ne le trahirez pas J en ai pour garans votre loyauté et votre
honneur.
M, 93, -- SAMEDI.
UN
Les Annonces et Avis
doiveut être remis la veille
avaou 1 heures du soir
PRIX
LE L'ADONNESIENT
Toulouse
Dép.
Etr.
r. an. 44 (r.
50 (r,
;S6
B mois
45 fr.
26
fr.
9t
3 mois
12fr. 14 fr,
tdf r.
Les abonnement ne sont reçus
que pour S mois, 6 mois on
un
au
,
et ar commencent que da
or ou de 16 de chaque mois-
PRIX DES INSERTIONS -
50
C. la ligne.
PRIY DSS RBCLAmar
60 C. là ligne.
nistratien étant alors mise en possession
,
les travaux marcheront
avec terne l'activité nécessaire pour que ee lot ne sort
plus en retard.
Dès-lors toute la ligne pourra marcher de fient,
car dans beaucoup
d'endroits les réglementa des talus sont liès-avancés,
et plusieurs
Liefs sont prêts à recevoir l'eau.
-
Pour les écluses, vingt-et-une sont depuis long-temps
construites
en entier, leurs abords sont presque terminés; 19 maisons d'éclu=
aloi sont prètPS à être habitées.
Les dérivations latérales aux écluses sent terminées.
Les ponts cri maçonnerie tons:cuits sur bittes
royales et dépar-
tementales, ou chemins vicinaux de grande communication,
sont
finis et presque tons livré, à la circulation.
Les maçonneries des ponts suspendus construits
pour les clre-
rnins vicinaux ordinaires sont terminées, presque lotis les tabliers
ton! posés , et ceux qui ne le sont pas encore sont prêts à ëtre
mis
au levage ; beaucoup de ces ponts sont aussi livrés à la circulation.
Un'grand nombre d'aqueducs ont été construits
sous le canal
durant la campagne dernière, pour le passage des
ruisseaux fré-
quents qu'on rencontre surtout entre Mon!ech et Toulouse. Plu-
sieurs déversoirs sont aussi construits sous les digues du canal.
Ainsi donc, remplir quelques -lacunes déjà presque
comblées
achever les abords des ouvrages d'ail, construire deux acqueducs
sous le canal et quelques déversoirs
, - voilà tout ce qui reste à
faire.
-
Il est bien entendu que nous ne traitons ici que des choses impo
-
tantes. Quelques derniers perfectionnements sont encore nécessaires,
mais rions n'en parlerons point, non plus que des portes d'écluses
eu bois ou en métal ,
auxquelles on travaille avec toute l'activité
possible. Encore quelques mois, e toutes scient posées.
On petit donc affirmer d'une manière positive, et rn une en
rire-
riant tue latitude très-grande, que la partie du canal comprise entre
Toulouse et àlontauban
, sera terminée à la fin de cette campagne. -
Les travaux s'avancent rapidement, et il
suffira d'une somme - de
quinze cent mille francs pour payer ceux qui restent à faire,
: ôét
dans la Haute-Garonne, soit dans notre département.
Quant à la partie du canal comprise entre i
ontcch et Casteisar-
rasin, elle est aussi très-avancée et unte comme de six cent mille
francs suffirait largement à subvenir aux déle uses
qui re:]eut à faire
pour son entier achèvement.
En résumé, en prenant 1,500,000 francs sur le ludget du
canal,
et en employant cette somme entre Mort auban e' Toulon e,
on
terminerait cette partie, et on relierait par ce moyen deux
v"'les
importantes, par une ligne de 50,000 mètres d'étendue. En
tout,
avec un crédit de deux millions on livrerait le canal à la navig 'ion
jusqu'à Castelsarrasin, sur un parcours de 70,600
mètre-
Vu les fonds assez considérables qui sont enneelics^nt
votés
pour le canai latéral, ii semblerait asile d'hbtcrar cette portion de
la mitui:îcence de nos -représentants et de ;a justice d<,
-jtorité
supérieure. Mai- jusqu'à ce jour, tes cré';ils r.'not
,`té
e, ,
avec nue égalité parfette. Les autres dép
uis i i rr°:ss et
Lot-et-Garonne cri particulier on' absorbé >t tour
riveta f - oreille:
part des allocations. laperons qu'il n'en sera pas toujours de rien..
Espérons qu'aujou;d'hui, les Ira;n.ux étant
ur le pei .t d'être ter-
minés, on daignera se souvenir un peu de nous, et que nos repré-
sentants, tout en surveillant avec zèle des inlgels plus sérieux,
voudront bien donner, cct!c année, quelque attention aux intérêts
matériels du département qu'ils représentent.
Aiguillon
,
4 avril
Lundi, 3 avril, une cérémonie dont le souvenir vivra togg-temps,
a eu lieu à Port-de-Passcau ,
à l'occasion
n baptême du magni-
fique pont suspendu
,
construit par Albi. Escarraguel
,
de Bor-
deaux.
Monseigneur l'évêque d'Agen off ciait
, assisté de plusieurs au-
tres membres du clergé. Son arrivée avait été saluée par des salves
d'artillerie. M. le sous-préfet de Nérac; M. l'ingénieur de la même
- Vous me jugez bien , mon ami vénéré... jamais parole dé ce
que je vais entendre ne sortira de ma bouche.
- Cette assurance me suffit. Nous ne serons donc que trois...
car des quatre autres personnes qui en avaient ou pouvaient en avoir
connaissance , trois seul mortes
,
et la dernière a disparu
,
si bien
qu'on ne sait cc qu'elle est devenue
, et que sans doute aussi elle
n'est plus de ce monde ; si bien encore que ce mystère ,
si j'avais
voulu le celer, il est sûr que ni vous ni tout autre n'en auriez ja-
mais rien su
, mais
je vous l'ai dit : les Maucouvert n'ont en aucun
temps frayé avec l'hypocrisie. De plus
,
si je suis heureux de vous
certifier qu'il restera toujours entre nous trois ,
ce. n'est pas pour
influencer votre résolution postérieure
, mâts
bien pour établir les
choses telles qu'elles sont , en toute vérité et franchise.
- Pas n'est besoin, réplique fleuri avec chaleur, de jurer que,le-
vous crois pleinement.
Or donc maintenant , remontons, s'il vous plaît, à près de treize-
années en deçà. Vous souvient-il , Henri, de ma bonne et vertueuse
épouse
,
Dieu a son ame présentement , j'en ai l'espoir , car ses mé-
rites terrestres ont dû lui valoir le ciel en l'autre vie... Vous sou-
vient-il d'elle, enfant que lors vous étiez ?
- Oui , certes ,
je m'en souviens , bonne, douce ,
aimable... usa
ange, une sainte
- Et qui vous aimait
bien , Henri... elle vous aimait plus
que
pas un , en mémoire de votre mère avec qui elle avait été unie
d'une amitié si étroite qu'on aurait dit deux sieurs... Oui, vous n'a-
vez pas été trop loin dans vos louanges : une sainte véritable ! ai-
mable et douce pour tous., grands et petits, chérie de nos vassaux,
bénie des pauvres gens... et pour moi, Mellite ! ur, ange
pour oaoi!.,
Le comte n'en petit dire davantage. lt s'arrête
, domitié par i'émo-
lien qu'exulte en lui un souvenir si cher et si crue; à ià
fois
,
et ce
n'est qu'au bout d'un instant qu'il lui est possiPle deicorrtinuer.
- cEt cependant. tant il est vrai que félicité
parfile n'est pua de
ce monde, nous n'étions pas heureux
: l'amour de nos premières
années de mariage, l'union si
charmante quand arriva l'âge
plus
avancé, ses qualités, ses vertus, à
elle, qui me donnaient à moi-
même vertus et qualités,
notre tendresse mutuelle et l'ac
rd di
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
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Seite 1 - LITTÉRAI

ON 13'A ROtNNEunesIKARTEGOUTEet C,imp.-Lib., r.St-Roule, 46,a ToctouSa.Lésa les Libraires, Burenaades Meaeageriasst Directeurs de Postes.CHEZ Dia

Seite 2 - 'notre

sadjoints et membresdes conseils municipaux desce sinistre t con,rdérairles,+ct pourront donner lieuà des dins- 1 Bagitad pour Damas.Un Mar.,nt e qui

Seite 3 - P.tc.1 s

Rm,+lp..xf/!¢aV.ulNtrwmrvrrX.a..--a-i,--------§.---.---.,blics, ainsi que dans le système suivi pour la vente de biens natio-naux. Mais sans les moyen

Seite 4 - A LéOPUE-3

mec de bonne volonté pourtrouver à choisir de bons et robustesLa chambre des pairs a une juridiction constitutionnelle ; qui pour-cultivateurs désireu

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